Messieurs, je ne chercherai point ici les motifs de la Rèvolution dans ceux
qu’on a voulu nous imposer. (...) Je déclare que la crainte des puissances
étrangères ne doit point influencer nos opérations. Je déclare que ce n’est
pas à nous à redouter des débas avec les rois, qui, peut-étre, (dans les
circonstances actuelles), ne seraient pas heureux pour nous, mais qui seront
toujours plus menaçants pour eux. Quelque exemple qu’on puisse donner
des peuples devenus libres par leur énergie, et rétablis sous le joug par la
coalition des tyrans, une telle issue n’est point à craindre pour nous. Des
secousses trop répéetées ont fait pénétrer, jusqu’au fond du peuple, l’amour
et l’attachement à la Révolution. On ne change plus l’etat des choses, on ne
rétablit plus des usurpations et des préjugés quand une telle masse s’est
émue, et quand elle a dit tout entière : je sais être libre, je veux ètre libre et
je serai libre. (...) Il est parfaitement vrai que si quelque puissance voulait
nous ôter notre liberté, il pourrait en résulter des désastres passagers pour
nous, de grandes plaies pour l’humanité : mais qu’en dernière analyse la
victoire nous est assurée. Aussi n’est-ce pas là. Messiers, le motif (...) du
décret (qui vous a été proposé). Ah ! Ce n’est pas notre faiblesse que je
crains (;) c’est notre force, nos agitations, c’est le prolongement indéfini de
notre fièvre révolutionnaire.
結果 (
日本語) 1:
[コピー]コピーしました!
Messieurs, je ne chercherai point ici les motifs de la Rèvolution dans ceux qu’on a voulu nous imposer. (...) Je déclare que la crainte des puissancesétrangères ne doit point influencer nos opérations. Je déclare que ce n’estpas à nous à redouter des débas avec les rois, qui, peut-étre, (dans les circonstances actuelles), ne seraient pas heureux pour nous, mais qui seronttoujours plus menaçants pour eux. Quelque exemple qu’on puisse donnerdes peuples devenus libres par leur énergie, et rétablis sous le joug par lacoalition des tyrans, une telle issue n’est point à craindre pour nous. Dessecousses trop répéetées ont fait pénétrer, jusqu’au fond du peuple, l’amouret l’attachement à la Révolution. On ne change plus l’etat des choses, on nerétablit plus des usurpations et des préjugés quand une telle masse s’estémue, et quand elle a dit tout entière : je sais être libre, je veux ètre libre et je serai libre. (...) Il est parfaitement vrai que si quelque puissance voulaitnous ôter notre liberté, il pourrait en résulter des désastres passagers pournous, de grandes plaies pour l’humanité : mais qu’en dernière analyse lavictoire nous est assurée. Aussi n’est-ce pas là. Messiers, le motif (...) dudécret (qui vous a été proposé). Ah ! Ce n’est pas notre faiblesse que jecrains (;) c’est notre force, nos agitations, c’est le prolongement indéfini de私たちの革新的な発熱。
翻訳されて、しばらくお待ちください..
